Ne sois pas si bête - 1964
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Ne sois pas si bête - 1964
Paroles de Bugs Bower et Jack Wolf, adaptation française Pierre delanoë
Pour son premier grand tube, le choix de ce texte a été un coup de maître. Il est plein d'espièglerie juvénile qui va comme un gant à notre petite France Gall de 16 ans. Comme on peut le voir dans la vidéo correspondante, lorsqu'elle interprète la chanson, elle la vit complètement.
Le texte reprend la technique courante du faux refrain (un des refrains, souvent le dernier présente une variante), mais dans ce refrain l'astuce remarquable consiste à ne changer qu'un mot , fille en garçon, pour transformer radicalement la fin. C'est en plus une revanche bien sentie de la cause féminine , la réponse de la bergère au berger !
La chute est marquée par un dernier clin d'oeil. L'expression "mener par le bout du nez" provient de l'anneau qu'on mettait au nez d'un animal puissant (taureau, buffle, ours ...) pour lui faire faire ce qu'on voulait, mais ici plus subtilement notre héroïne le mène avec sa douceur féminine par les baisers au bout du nez
Cliquer ICI pour la video
Ne sois pas si bête
Il est très timide, avec ses copains
Mais avec les filles, il ne craint plus rien
Chaque fois qu'on danse, il nous snobe un peu
Et dans ses bras, oui dans ses bras
Il nous tient des propos, comme ça
Ne sois pas si bête, bête, bête
Serre-moi plus fort, et plus fort encore
Ne t'en fais pas, ne crains rien de moi
Car tu es encore une petite fille pour moi
Il nous raccompagne, jusqu'à notre porte
Sans nous embrasser, le diable l'emporte
C'est presqu'une offense, c'est un drôle de jeu
Quand dans ses bras, oui dans ses bras
Il nous tient des propos, comme ça
Ne sois pas si bête, bête, bête
Serre-moi plus fort, et plus fort encore
Ne t'en fais pas, ne crains rien de moi
Car tu es encore une petite fille pour moi
Il croyait vraiment qu'il était le plus malin
Mais heureusement, il n'en était rien
Un soir de vacances, qu'il m'accompagnait
Moi je l'ai pris, oui dans mes bras
En lui disant chéri, crois-moi
Ne sois pas si bête, bête, bête
Serre-moi plus fort, et plus fort encore
Ne t'en fais pas, ne crains rien de moi
Car tu es encore un petit garçon pour moi
Voyant qu'il était trop bête, bête, bête
Il m'a embrassé
Encore embrassé et depuis c'est lui qui est mené
Mené par le bout du nez
Oyé !
Pour son premier grand tube, le choix de ce texte a été un coup de maître. Il est plein d'espièglerie juvénile qui va comme un gant à notre petite France Gall de 16 ans. Comme on peut le voir dans la vidéo correspondante, lorsqu'elle interprète la chanson, elle la vit complètement.
Le texte reprend la technique courante du faux refrain (un des refrains, souvent le dernier présente une variante), mais dans ce refrain l'astuce remarquable consiste à ne changer qu'un mot , fille en garçon, pour transformer radicalement la fin. C'est en plus une revanche bien sentie de la cause féminine , la réponse de la bergère au berger !
La chute est marquée par un dernier clin d'oeil. L'expression "mener par le bout du nez" provient de l'anneau qu'on mettait au nez d'un animal puissant (taureau, buffle, ours ...) pour lui faire faire ce qu'on voulait, mais ici plus subtilement notre héroïne le mène avec sa douceur féminine par les baisers au bout du nez
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teliss- Messages : 19
Date d'inscription : 28/01/2018
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